THE GIRL KING
Malin Buska (Kristina) et Patrick Bauchau (Descartes)
Marianna Films / Triptych Media/ Galafilm / Starhaus Filmproduktion / Anagram Ventes/Sales: Miira Paasillinna
Création : première mondiale et en compétition officielle au Festival des films du monde de Montréal, septembre 2015.
Screeplay by Michel Marc Bouchard.
Directed by Mika Kaurismaki.
THE GIRL KING / THE GIRL KING de Mika Kaurismaki,en compétition officielle au Festival de cinéma 2015 de la ville de Québec.
Prix du public pour THE GIRL KING / THE GIRL KING au Festival des films du monde de Montréal, septembre 2015.
Prix d'interprétation féminine pour Malin Buska (Kristina) pour THE GIRL KING / THE GIRL KING au Festival des films du monde de Montréal, septembre 2015.
RESUME - SYNOPSIS
We are in the 17th century and Queen Christine intends to make Sweden the most modern country in Europe. Raised as a boy under strict Lutheran control, this enigmatic, flamboyant and unpredictable ruler faces strong resistance in her desire to educate her subjects and end the bloody Thirty Years' War between Protestants and Catholics. Christine finds it difficult to live with her irresistible passion for her lady-in-waiting, the superb Countess Ebba Sparre. Her discovery of love and passion goes hand in hand with her quest to understand humanity and the violent forces that conspire against it. Torn between her political and personal aspirations, she chooses to make one of the most controversial decisions in history.
Nous sommes au XVIIe siècle et la reine Christine entend bien faire de la Suède le pays le plus moderne d’Europe. Élevée comme un garçon sous un strict contrôle luthérien, cette souveraine énigmatique, flamboyante et imprévisible fait face à une forte résistance dans son désir d’éduquer ses sujets et de mettre fin à la sanglante guerre de Trente Ans entre les protestants et les catholiques. Christine a du mal à vivre avec son irrésistible passion pour sa dame d'honneur, la superbe comtesse Ebba Sparre. Sa découverte de l'amour et de la passion va de pair avec sa quête de comprendre l'humanité et les forces violentes qui conspirent contre elle. Déchirée entre ses aspirations politiques et personnelles, elle choisit de prendre l'une des décisions les plus controversées de l'Histoire.
Sarah Gadon (Ebba) et Malin Buska (Kristina)
DISTRIBUTION - CAST
- Malin Buska (Kristina, queen of Sweden)
- Sarah Gadon (Comtess Ebba Sparre)
- Michael Nyqvist (Chancellor Axel Oxenstierna )
- Lucas Bryant (Count Johan Oxestierna)
- Laura Birn (Countess Erika Erksein)
- Hippolyte Girardot (Hector Chanut, ambassador of France)
- François Arnaud ( Karl Gustav)
- Patrick Bauchau (René Descartes, french philospher)
- Martina Gedek (Queen Marie-Éléonore de Brandbourg)
- Direction photo : Guy Dufaux Montage : Hans Funck
"... Tourné en Finlande, en Suède et en Allemagne, le film compte parmi ses noms les plus connus Hippolyte Girardot dans le rôle d’un émissaire du Vatican et le Québécois François Arnaud dans le rôle de son cousin. En entrevue pendant le tournage, Kaurismaki avait annoncé que son film n’avait pas été conçu comme une épopée traditionnelle en costumes d’époque, mais comme le récit psychologique d’une pensée révolutionnaire. Au bout du compte, il n’a pas entièrement tenu sa promesse. Par moments, The Girl King est une pure épopée traditionnelle avec magnifiques costumes d’époque, cavalcades et combats d’épée. C’est aussi un film grand public, ce qui sous-entend que Kaurismaki ne renouvelle pas nécessairement le genre. Ce qui fait la différence et casse le moule, c’est le personnage de Christina, son aplomb, son énergie très masculine, ses tenues de garçon manqué, sa grande curiosité intellectuelle, ses échanges avec Descartes et le fait que sa pensée audacieuse et contestée de tous est effectivement en cœur du récit et au milieu de l’écran... ", Nathalie Petrovski, LA PRESSE, Montréal, 5 septembre 2015.
"... Guy Dufaux en a tiré les belles images. L’actrice canadienne Sarah Gadon (ici l’amante de la reine Christine) et François Arnaud (son cousin préféré) sont du lot. Sinon, une distribution internationale, un film en langue anglaise tourné surtout dans un château finlandais. Le type de production coûteuse de qualité que l’Europe enfante ces temps-ci (la compétition cannoise en était truffée) avec des acteurs et des techniciens de partout, souvent de premier plan mais inégaux, tournant dans une autre langue que la leur, ce qui nuit à l’ancrage. Ici, les décors sont magnifiques. Mika Kaurismäki, frère d’Aki, cinéaste aussi, est à la fois macho dans son regard sur les personnages féminins et pudique à l’heure de montrer leurs ébats. Michael Nyqvist en grand chancelier et Patrick Bauchau en Descartes font plus d’étincelles que d’autres... La jeune actrice suédoise Malin Buska, qui interprète la reine Christine avec aplomb, rappelle à quel point une chape de plomb pèse dans son pays sur cette souveraine à peu près absente des manuels scolaires, pour avoir trahi sa patrie....", Odile Tremblay, LE DEVOIR, Montréal, 5 septembre 2015.
Lucas Bryant (Count Johan Oxestierna)
Le FFM annonce que le film The Girl King de Mika Kaurismaki fera partie de la compétition mondiale du 39e FFM en première mondiale. Le film est coproduit par Galafilm et Triptych Media (Canada), Marianna Films (Finlande), Starhaus Filmproduktion (Allemagne) et Anagram (Suède). La distribution internationale comprend les Suédois Malin Buska et Michael Nyqvist, les Canadiens Sarah Gadon et Lucas Bryant, la Finlandaise Laura Birn, le Français Hippolyte Girardot, le Belge Patrick Bauchau et les Allemands Peter Lohmayer et Martina Gedeck. Le Québécois François Arnaud est de la distribution et le chef opérateur Guy Dufaux à la direction de la photographie. La version anglaise du scénario est l’œuvre de Linda Gaboriau, lauréate de Prix littéraires. Le Finlandais Mika Kaurismäki a amorcé son tournage de The Girl King (La reine-garçon) d’après le scénario du Québécois Michel-Marc Bouchard, qui avait créé au théâtre la pièce sur la vie de Christine de Suède, avec brio et qui connut un grand succès lors de sa présentation en 2012 au Théâtre du Nouveau Monde de Montréal (Québec) aussi bien qu’au Festival de Stratford (Ontario).
Martina Gedek (Marie-Éléonore, Michael Nyqvist (Chancellor Axel Oxenstierna et Lucas Bryant (Count Johan Oxestierna)
“The Girl King is beautiful… the chemistry between the two women is spot on.” — AfterEllen.com
“A steamy and sumptuous period piece… this romantic re-imagining doesn’t flinch as the queer queen invites her beautiful handmaiden to be her “bed-warmer” and refuses to don dresses or marry.” — OutMagazine.com
Malin Buska (Kristina) et Hippolyte Girardot (Hector Chanut, ambassador of France)
“There’s more than enough drama, complexity and speculative intrigue in the single decade of Christina’s adult reign to sustain an epic miniseries…The primary focus here is on the monarch’s passionate devotion to lady-in-waiting Countess Ebba Sparre (a wide-eyed Sarah Gadon), whose status becomes a matter of bawdy public rumor even before Christina appoints her official ‘bedfellow.’” — Variety
François Arnaud ( Karl Gustav)
“At times, The Girl King is a traditional epic with beautiful period costumes, cavalcades and sword fights…What breaks the mold, is the character of Christina, her aplomb, her very masculine energy, her tomboy outfits, her intellectual curiosity, her exchanges with Descartes and the fact that her bold, challenging thinking is actually the heart of the story and in the middle of the screen.” — La Presse
“Finnish director Mika Kaurismäki’s take on Kristina’s real-life story is lush and energetic and boasts a standout performance from Malin Buska, who plays the tomboy Queen with such a high level of intensity that you half expect her to jump through the screen so she can chew you up and spit you out. Less staid and serious than period dramas are generally presumed to be, The Girl King tosses history lessons up on screen along with swordfights, philosophical ruminations, a devilishly unhinged mother, and a scene in which Kristina and her lover/lady in waiting Ebba Spare (Sarah Gadon) get hot and heavy on top of a copy of a medieval manuscript colloquially known as ‘the Devil’s Bible.’ Oh, and gorgeous clothes. The film brings a level of quasi-camp that’s unusual for the genre, but no less welcome for it.” — Film Journal International